La séance du conseil régional vendredi 30 juin 2006


Le vote en faveur du GCO a été acquis par 30 voix pour, 13 contre et 4 abstentions.
( DNA du 1 juillet )

J’ai vécu de grands moments ce jour :
Comme à Londres, on pourrait demander 12 € pour entrer à Strasbourg. Qui en aura le courage politique?

La palme de la mauvaise foi revient à la conseillère régionale (vice-présidente?) qui a comparé les oppositions au GCO, à celles au VRPV : N’oublions pas une donnée fondamentale : il n’existait aucune autoroute entre Selestat et Strasbourg, la seule voie rapide était la N83 traversant des villages !

Le président, Adrien Zeller, s’est trop longuement exprimé sur un historique difficile à qualifier et, hop là, François Loos, venant d’arriver et auréolée d’une aura parisienne (péjoratif pour moi !), a eu l’honneur et l’avantage de clôturer le débat.
son intervention (cliquer sur le texte)
J’ai aussi eu l’impression que les votants se sont déterminés en fonction de leur groupe, de leur ressenti et de leur vécu mais peu en fonction de données factuelles.
( voir l’article des DNA du 5 juillet politique 4 sur la comitologie, ces comités qui exercent le pouvoir sans réel contre-pouvoir).

De plus entre tous ces documents divers (contradictoires?) : plan, directives, schémas, conventions, ... locaux, intercommunaux, régionaux, nationaux...
quel élu, partagé entre différents mandats1 et déplacements, y voit encore clair?

Nous avions envoyé une lettre à chaque conseiller (cliquer sur le texte)

l'intervention socialiste http://www.ps67.org/article.php3?id_article=852

Postérieurement à cette séance nous avons eu, en aout, la déclaration de Christian Estrosi, le ministre délégué à l'aménagement du territoire en 2006 « Il faut enrayer le tout routier » citée dans un § des ReFlexions

une explication du cumul =>
les émoluments de nos élus ici .
Calculez-vous même les revenus d'un couple elle présidente de région, députée et lui député-maire (si vous n’avez pas reçu le document légèrement polémique).